Cet amour vicié
Qui chaque jour te ronge
Et qui dans l’alcool te plonge
Façonne ta triste destinée
Toi, qui tel un spartiate
Te relève au centre de la mêlée
Toi, qui reprend les rennes de ta destinée
Exécutera une vengeance immédiate
De ton histoire tu a tiré une leçon
Le terme amour a disparut de ton vocabulaire
Tu deviens patibulaire
Tel te décrit ton âme et ton esprit a l’unisson.
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Le coeur meurtri
C’est ainsi
Que je t’écris
Non sans mélancolie
Cette tragédie
Qu’est ma vie
Afin que mon amour pour toi
Qui est ne dans le noir
Ne sois pas un signe de déboire
Mais bien de la gloire
Ce qui a mes yeux
Est le plus précieux.
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Mon amour pour toi est éternel
Au défaut de l’aquarelle Qui avec le temps s’efface
Ma flamme reste tenace
Et jusque ma dernière heure
Je resterais en pleur
De ton refus
Naquit le début
De la mélancolie
D’être loin de ta vie.
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Tes yeux tels des voleurs
Ont dérobés mon coeur
Et sous le regard de la nuit
La femme de ma vie
Fut happée
Hors de ma portée
C’est ainsi que repris
La douce mélancolie de ma vie
Alors ce poème
C’est ma façon de te dire je t’aime
Afin de garder l’espoir
De rester gravé dans ta mémoire.
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Toi, la splendeur
Qui éclaire mes nuits
Toi, qui sans bruit
Reçoit tout l’éclat de mes pleurs
Toi, qui depuis les cieux
M’entoure d’un amour voluptueux
Toi, qui depuis ce triste jour
A rompu tout mes voeux
Toi, qui a la droite du christ
M’observe avec tant de passion
Toi, que j’aime sans modération
Fait partie de sa triste liste.
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Devenu l’un des enfant de la lune
A peine sortit de l’enfance
Tu tentes alors ta chance
Mais pour ton malheur tu n’en a aucune
Trop jeune pour sortir
Trop vieux pour ne rien faire
Tu n’es qu’un être de chair
Pour qui tout est fait pour nuire
Pour toi dieu est un tyran
Dont tu ne sera jamais esclave
Plus jamais tu n’auras d’entrave
Car chaque jour tu deviens plus grand.
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Toi qui sur ton passage
Ne laisse un funeste ravage
Toi qui de ta splendeur
Ne laisse que des pleurs
Toi que la maladie
A définitivement entravé
Toi qui de ta vie
Ne rêve que de liberté
Toi qui chaque jour
Te bat comme un guerrier
Toi que l’amour
A semble t’il oublié
Toi qui relève la tête
Même face aux coups durs
Toi qui dans ta quête
Se retrouve toujours face au mur.
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Depuis ta douce enfance
Jusque ta dure adolescence
La vie semble être de ton coté
Jusqu’a que tu te mette a aimer
De ton puissant amour
Naîtra une haine impitoyable
Depuis que tu l’as rencontré dans la cour
Tu as compris que c’est la fin de la fable
Dans cette fougueuse relation
Tu t’es enchaîné
Dans cette violente passion
Tu t’es retrouvé entravé
Arrivé a l’age mur
Tu réalises enfin
A quel point la vie est dure
Mais que tout a une fin.
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Toi, la seule personne dont les yeux
Tels des voleurs
Ont dérobés mon coeur
Toi, la seule personne qui m’aime depuis les cieux
Toi qui en une soirée
C’est évaporée
Toi l’être tant aimée
C’est à jamais éloignée
Mon coeur c’est à jamais effondré
De mon âme je me suis efforcé
D’enfin te retrouver
Dans ce paradis qu’est l’éternité
Depuis ton absence
J’ai forcé la chance
Plusieurs fois j’ai essayé
A chaque fois on m’en a empêché
Toi que je voudrait retrouver
De tes entrave enfin libérée
Toi, qui m’a appris le sens du mot amour
J’aimerais te dire depuis le haut de ma tour
Que depuis ton départ
Je suis resté un être hagard
Et que toutes les nuits je prie
Pour que l’on soit enfin réunis.
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